Reynaldo Hahn-Théophile de Viau: À Chloris S'il est vrai, Chloris, que tu m'aimes,(mais j'entends que tu m'aimes bien,)je ne crois pas que les rois mêmesaient un bonheur pareil au mien.Que la mort serait importunede venir changer ma fortunepour la félicité des cieux !Tout ce qu'on…